lundi 20 décembre 2010

Des photographes vilipendé et prise en otage par certaine classe à Goma, pourtant des messieurs !

Goma, ville touristique où la photographie s'impose, travaillant dans l'informel tout le monde s'improvise en photographe sans étique et déontologie ils se larguent sur le marché à la recherche de la survie jusqu'à perdre la dignité du métier de photographe, aujourd'hui le public de Goma nargue la photographie et photographes laissé dans leur triste sort. Je suis parmi ceux qui cherchent à revalorisé notre beau métier à Goma hélas, je suis seul contre tous les collègues qui ignorent notre valeur. Je me plains du public qui néglige le travail de photographe que nous sommes. Oh le beau métier vilipendé par des riches, nous sommes limite qui ont squatté les espaces public en érigent des hôtels au bord du lac qui profite de la naïveté des certains collègues nous mettent en mal jusqu'à leur interdire l'accès sur ce lieu public qu'ils ont illégalement acquis, même lorsqu'ils viennent comme un client je me demande si c'est en vertus de quelle lois qu'il est interdit à quelque d'entrer dans un hôtel avec son appareil photo ?



Personne ne s'occupe de photographe dans cette ville même les ministère de la culture, mais les photographe après avoir été privé d'exercer partout ils se sont taillé des ronds point pour exercer. Cette scène représente une personne qui se fait photographie des photos d'identités en plein aire.
Ils sont nombreux sur la pelouse du rond point de banque à Goma, ici ce couple immortalise l'harmonie du couple par la photographie de photographes en herbe.

Très engagé cette endroit est devenue une place de la photo créé par le rejeton. Pendant qu'il exerce leurs sac de reportage sont suspendu sur une pylône, par crainte d'être volé, celui qui ne pas occupe s'occupe de la garde, car ici les enfant de la rue sont actif. Vraiment ces photographes travail dans des condition extrêmement dure!!!
Si les photographes ne le démontre pas qui alors va montré la beauté pour que des touristes vienne à Goma?

Après être maltraité et chassé par certain collègues ils ont choisit ce site à la recherche de la survie; Il consulte son pellicule après la demande d'une belle reproduction devant le monument de trottinette( Chukudu) érigé au rond point devant un dépôt de la bralima à Goma



Nous sommes de monsieur, moi j'ai orienté on angle sur une vision de la photographie en République Démocratique du Congo et son environnement, hélas!

Je me dis est ce ces photographies qui se font rouler dans la farine ne comprennent pas qu'ils font une publicité tacite à ces hôtels, alors combien ils sont payés pour cette publicité ? Je me demande à quand un photographe Congolais surtout de Goma comprendrons que le riche cherche toujours à écraser les pauvres ! Je m'insurge contre cette pratique de prendre les photographes de Goma en otage, tantôt d'une façon péjorative on le fait porter la marque d'un studio au profit du tenancier de ces studios qui divisent notre intérêt commun du photographe. Le débutant de ce métier son exclus personnes ne s'occupent pas d'eux ils sont même chassés comme de chiens au Labo photo, ceux qui ont évolué sont menacés à mort. La réalité est que la photographie est en train de s'affaisser dans au profit des hôtelier et tenancier de labo photo à Goma. Bien que ce que je dénonce est en train de prendre un empileur inquiétante, certain photographes averti se démarque cherchant à contourner cette tendance avilissant le bien-être de la photographie cherche un coup de main pour sortir de l'ornière.

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